Conservatives to force hearings on Rogers-Shaw
Conservatives to force hearings on Rogers-Shaw
March 16, 2021
FOR IMMEDIATE RELEASE
Ottawa, ON – Pierre Poilievre, Conservative Shadow Minister for Jobs and Industry, released the following statement on the Official Opposition forcing hearings of the Standing Committee on Industry, Science and Technology on the proposed Rogers Communications acquisition of Shaw Communications:
“Some argue the Rogers-Shaw deal means more investment, others that it means less competition. The only way to know for sure through careful study and intense debate. Conservatives want the Industry Committee to hear from customers, workers, business leaders, engineers, economists, and other experts, to get a complete understanding of the proposed deal.
“In most sectors, free enterprise forces businesses to compete for workers with higher wages and for consumers with better products and prices. Canada’s telecommunications sector is an exception. It is not a free market but a protected regulated system, where government agencies try to do what open competition would normally do. That system has not served Canada particularly well and has left us with higher prices and millions of Canadians who cannot access high-speed internet to run their businesses or have their kids participate in online learning.
“The Rogers-Shaw deal would have been massively important before COVID as it would create a $50 billion company with $20 billion-a-year in revenue, 33,000 workers, and almost 13 million wireless subscribers. But it will be even more important now that COVID has shifted hundreds of thousands of jobs to work-from-home. If some communities cannot get fast, affordable connections, their people will be left behind.
“Conversely, fast, affordable wireless combined with remote work could revive struggling rural, remote and indigenous economies like we have not seen since the urbanization phenomenon began. For it to happen, we can no longer accept poor internet at high prices.
“It is hard to remember it now, but Canada was once among the world’s most advanced economies. To regain that position and secure our future, we need the best digital connection at the best prices.”
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Les conservateurs exigent la tenue d’audiences sur l’entente Rogers-Shaw
16 mars 2021
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE
Ottawa (Ontario) – Pierre Poilievre, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable des Emplois et de l’Industrie, a fait la déclaration suivante sur le fait que l’Opposition officielle exige la tenue d’audiences du Comité permanent de l’industrie, des sciences et de la technologie sur l’acquisition proposée de Shaw Communications par Rogers Communications :
« Certains disent que l’entente Rogers-Shaw créera plus d’investissements, d’autres qu’elle réduira la concurrence. La seule façon de le savoir avec certitude est d’avoir une étude approfondie et un débat intensif. Les conservateurs veulent que le Comité de l’industrie entende des clients, des travailleurs, des dirigeants d’entreprise, des ingénieurs, des économistes et d’autres experts pour bien comprendre l’entente proposée.
« Dans la plupart des secteurs, la libre entreprise oblige les entreprises à se faire concurrence pour les travailleurs avec des salaires plus élevés, et pour les consommateurs avec de meilleurs produits et de meilleurs prix. Le secteur des télécommunications du Canada est une exception. Ce n’est pas un libre marché, mais un système réglementé protégé où des agences gouvernementales tentent de faire ce qu’une concurrence ouverte ferait normalement. Ce système ne sert pas bien le Canada. Nous payons des prix plus élevés et des millions de Canadiens n’ont pas accès à Internet haute vitesse pour exploiter leur entreprise ou permettre à leurs enfants d’étudier en ligne.
« L’entente Rogers-Shaw aurait été considérablement importante avant la COVID, car elle créera une entreprise de 50 milliards de dollars avec un chiffre d’affaires annuel de 20 milliards de dollars, 33 000 travailleurs et près de 13 millions d’abonnés sans fil. Mais elle est encore plus importante maintenant que la COVID oblige des centaines de milliers de personnes à travailler à la maison. Si certaines communautés n’ont pas accès à une connexion rapide et abordable, leurs membres seront laissés pour compte.
« À l’inverse, un accès rapide et abordable, combiné au travail à domicile, pourrait redynamiser des économies rurales, éloignées et autochtones en difficulté comme nous ne l’avons pas vu depuis le phénomène de l’urbanisation. Pour que ce soit le cas, nous ne pouvons plus accepter un mauvais accès Internet à prix élevé.
« Il est difficile de s’en souvenir aujourd’hui, mais le Canada a déjà été l’une des économies les plus avancées du monde. Pour reprendre ce statut et protéger notre avenir, nous avons besoin de la meilleure connexion numérique aux meilleurs prix. »
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