More Witnesses say there was pressure to use Nova Scotia tragedy for political gain

More witnesses say there was pressure to use Nova Scotia tragedy for political gain

June 29, 2022
FOR IMMEDIATE RELEASE

Ottawa, ON — Raquel Dancho, Conservative Shadow Minister for Public Safety, Dane Lloyd, Conservative Shadow Minister for Emergency Preparedness, and Pierre Paul-Hus, Conservative Shadow Minister for Public Services and Procurement, released the following statement after more evidence was heard in the Mass Casualty Commission (MCC) about interference and political pressure from the Liberal government:

“Given the testimony from four senior RCMP officials, it is clear Commissioner Lucki was under orders to release sensitive information about the Nova Scotia mass killings that could have jeopardized the ongoing investigation. It is also clear that the pressure came right from the top, from the offices of the Prime Minister and Minister Bill Blair.

“All accounts suggest the Commissioner was angry, emotional, and appeared to be acting out in desperation to appease her political bosses. This was no doubt the reaction of someone who was being placed under immense pressure and may have even feared for her job.

“We know the Prime Minister has bullied people to do his bidding before, however unethical. Former Attorney General of Canada, Jody Wilson-Raybould, was pressured to interfere in the SNC-Lavalin scandal. She refused, and the Prime Minister fired her. The consequence of saying ‘no’ and speaking truth to this Prime Minister couldn’t have been lost on Commissioner Lucki – the stronger the backbone, the shorter the career for women.

“The Liberal government has denied, blocked, and blamed others. We also know the Department of Justice withheld critical evidence from the inquiry that implicates the Liberal government in this scandal. Then Liberal members at the committee investigation into the Nova Scotia mass killing flatly blocked a motion to have the Prime Minister’s office appear. A pattern is clearly forming.

“Canadians deserve answers. The Liberals must fully participate in this investigation without delays or games. We need to hear from all involved, right up to the Prime Minister’s Office. Anything less is a cover-up.”

 

-30-

 

 

 

De nouveaux témoins affirment que des pressions ont été exercées pour que la tragédie de la Nouvelle-Écosse soit utilisée à des fins politiques

29 juin 2022
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

Ottawa (Ontario) — Rachel Dancho, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable de la Sécurité publique, Dane Lloyd, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable de la Protection civile, et Pierre Paul-Hus, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable des Services publics et de l’Approvisionnement ont fait la déclaration suivante après que d’autres témoignages aient été recueillis par la Commission des pertes massives (CPM) au sujet de l’ingérence et des pressions politiques exercées par le gouvernement libéral :

« Compte tenu du témoignage de quatre hauts responsables de la GRC, il est clair que la commissaire Lucki avait reçu l'ordre de divulguer des informations sensibles sur les massacres en Nouvelle-Écosse qui auraient pu compromettre l'enquête en cours.

« Tous les témoignages suggèrent que la commissaire était en colère, émotive, et semblait agir en désespoir de cause pour apaiser ses maîtres politiques. Il s’agissait sans aucun doute de la réaction d’une personne soumise à une pression immense et qui craignait peut-être même pour son emploi.

« Nous savons que le premier ministre a déjà fait pression sur des personnes pour qu’elles lui obéissent, même si cela est contraire à l’éthique. L’ancienne procureure générale du Canada, Jody Wilson-Raybould, a subi des pressions pour s’immiscer dans le scandale de SNC-Lavalin. Elle a refusé, et le premier ministre l’a renvoyée. La conséquence de dire « non » et de dire la vérité à ce premier ministre n’a pas échappé à la commissaire Lucki — plus les femmes sont fortes, plus leur carrière est courte.

« Le gouvernement libéral a nié, bloqué et blâmé les autres. Nous savons également que le ministère de la Justice a retenu des preuves essentielles de l’enquête qui impliquent le gouvernement libéral dans ce scandale. Puis, les membres libéraux du comité d’enquête sur la tuerie en Nouvelle-Écosse ont carrément bloqué une motion visant à faire comparaître le bureau du premier ministre. Une tendance se dessine clairement.

« Les Canadiens méritent des réponses. Les libéraux doivent participer pleinement à cette enquête, sans délai ni manigance. Nous devons entendre toutes les personnes concernées, qu’elles fassent ou non parties du Cabinet du premier ministre. Toute tentative de s’y soustraire doit être considérée comme une tentative de dissimulation »

Previous
Previous

Conservatives urging Liberal government to get results as Minister Ng gets set to host North American trade counterparts

Next
Next

Flawed Bill C-11 will do more harm than good